Depuis peu, la cladribine (Mavenclad®) est disponible pour le traitement de la sclérose en plaques récurrente-rémittente. Le Dr Erwin Van Ingelghem (neurologue, Ostende) nous explique son expérience avec ce traitement puissant.
Quels types de patients, d’après votre expérience, sont les plus susceptibles de bénéficier d’un traitement par Mavenclad® (cladribine comprimés) et pourquoi? Pr Sindic: «Le type de patient le plus fréquent qui tirera profit du Mavenclad® sera un patient traité par un médicament de première ligne administré par voie injectable ou par voie orale et qui fait de nouvelles poussées cliniques ou chez qui l’on constate, sur un an de temps, l’apparition de nouvelles lésions sur les clichés d’IRM. Ces manifestations sont en effet des facteurs de mauvais pronostic à moyen et long terme.»
Dans le cadre du 20e anniversaire du Rebif®, nous avons rencontré le Professeur Valérie Delvaux (CHR La Citadelle, ULiège) afin qu’elle nous fasse part de son expérience concernant la prise en charge des patients atteints de sclérose en plaques (SEP).
Lors d’un séminaire organisé par Merck, le Dr Philipp Albrecht (Düsseldorf, Allemagne) a expliqué l’intérêt de la cladribine comprimés (Mavenclad®) dans la prise en charge de la sclérose en plaques. Ce traitement allie efficacité et simplicité d’emploi et vise, avec au maximum 20 comprimés, à assurer la stabilité du patient pendant au moins 4 ans.
Nous avons rencontré le Dr Robert Medaer, neurologue à Hasselt, à l’occasion du 20e anniversaire de la mise sur le marché de Rebif®.
Lors d’une réunion organisée par Merck, nous avons eu la chance de rencontrer le Pr Herbert Schreiber (Ulm, Allemagne), qui fait partie d’un réseau de spécialistes à travers l’Allemagne chargé d’étudier de près cette maladie et sa prise en charge…
Le Rebif®, interféron bêta-1a, a 20 ans. Le Professeur Christian Sindic est la personne tout indiquée pour répondre à nos questions puisqu’il a participé à l’étude initiale de phase III, PRISMS (1), débutée en 1994 et publiée en 1998. Son expérience est donc précieuse afin de jeter un nouvel éclairage sur la prise en charge des patients aujourd’hui.
C’est au bord de la Meuse qu’un bon nombre de neurologues du Namurois ont pu écouter l’expérience du Dr Dominique Dive (CHU Liège-ULiège), un des spécialistes belges parmi les plus actifs dans la recherche clinique sur la sclérose en plaques.
Lors d’une soirée organisée par Merck, le professeur Raymond Hupperts, des Pays-Bas, a présenté son expérience avec Mavenclad® (cladribine comprimés) dans sa pratique quotidienne.
Ne reste t'il pas important de voir si est apparu un Babinski ou un clonus? M Soeur
Le Covid-19 comme catalyseur de l’intégration de la télé‑consultation dans la sclérose en plaques: de Dire Straits à Brothers in Arms?
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